lundi 28 décembre 2009

Sleeping Sickness


Peu être un peu weird d'écrire des paroles de chanson...mais je l'adore et elle exprime bien comment jme sens ses temps si.. Jsuis bizzare, oui je le sais.

I awoke
Only to find my lungs empty
And through the night
So it seems I'm not breathing
And now my dreams are nothing like they were meant to be
And I'm breaking down, I think I'm breaking down

And I'm afraid
To sleep because of what haunts me
Such as living with the uncertainty
That I'll never find the words to say
Which would completely explain
Just how I'm breaking down

Someone come and, someone come and save my life
Maybe I'll sleep when I am dead
But now it's like the night is taking sides
With all the worries that occupy the back of my mind
Could it be this misery will suffice?

I've become
A simple souvenir of someone's kill
And like the sea
I'm constantly changing from calm to ill
Madness fills my heart and soul as if the great divide could swallow me whole
oh, how I'm breaking down

Someone come and, someone come and save my life (save my life)
Someone come and, someone come and save my life (save my life)
Someone come and, someone come and save my life
Could it be this misery will suffice?

mercredi 16 décembre 2009

Un regard.

Un regard.
Un regard, sa veut tout et rien dire.
Un regard, te fais comprendre ce que tu aimerais comprendre.
Un regard, t'apporte ce que tu aimerais posséder.
Un regard, te raconte une histoire
Non pas les yeux, mais ce qui se cache derrière ses yeux, ce qu'il pense, ce qui le tracasse.
Oui, un simple regard te fait voir ce que tu aimerais voir.
Un regard avec un inconnu.
Un regard avec un inconnu peut faire chambouler ton esprit.
Un regard, et tu penses tout comprendre.
Mais ce simple regard est finalement ce que tu aurais aimé voir.
Un regard est juste et rien d'autre que le reflet de ta pensée.
Simplement le reflet de ta pensée, puisqu'on se trompe tous les jours.

Simplement le reflet de ta pensée, puisque ce miroir que tu croises tous les jours dans le regard des gens, est simplement le fruit de notre pure imagination.

dimanche 29 novembre 2009

Je veux retourner aux pays des merveilles.

Des enfants.
Deux enfants.
Ils courent, jouent sans se soucier de ce qui les attendes.
Ils vivent dans le monde merveilleux de l'imagination
Tout est possible, tout peut arriver.
Dans ce monde, la franchise est omniprésente.
Elle est partout, il y a pas de place à la trahison.
Des sentiments pure et simple.
L'insouciance du monde extérieure.

Plus tard, ils vieilliront et plus rien n'existera de ce monde imaginaire.
Même l'opposer se produira. Ils vivront dans une société de mensonge, de malhonnêté.
Un monde compliqué et impossible à comprendre.

Deux adultes.
Ils travaillent, vivent dans une routine et se souci de tout.
Ils vivent dans une société de conflits.
Tout est impossible, rien ne peut être changer.
Dans ce monde, la malhonnêté est omniprésente.
Elle est partout, on ne peut plus faire confiance à personne.
Les sentiments sont compliqués, rien à faire.
Les soucis, la routine, ce monde intérieur, cette bulle dans laquelle tout le monde prends vit et meurt.

Je veux retourner aux pays des merveilles. Je viens tout juste d'avoir 19 ans, et vieillir sa me fait peur. Je ne veux pas vieillir. Je veux retourner un enfant, jouer sans me soucier de ce qui m'attend. Vivre dans le monde merveilleux de l'imagination. Ne pas savoir ce qui m'attend demain, la spontanéitée.
Je veux vivre comme un enfant.


Amoureuse comme un enfant.

mercredi 11 novembre 2009

J'écris.

Oui. J'écris.
J'écris pour toi, pour moi, pour les autres.
J'écris pour qu'on entende ce que je pense.
J'écris ce qui a été écrit des milliers de fois, mais j'écris.
J'écris pour toi, même si je sais que tu liras jamais.
J'écris pour enlever ma peine, même si sa fait toujours aussi mal.
J'écris pour m'enlever de la tête ce qui m'empêche d'avancer.
J'écris pour moi, mais autant pour les autres et pour toi.
J'écris pour qu'on entende ce que je crois authentique.
J'écris pour faire réaliser des sujets, des thèses, déjà émise.
J'écris parce que sa me fait du bien.

samedi 24 octobre 2009

Réminescence

Réminescence: '' Dans la langue commune, rappel d'un souvenir à peu près effacé ; acte par lequel nous cherchons à ressaisir un souvenir incomplet. ''
Réminescence.
Tu penses avoir oublier.
Un endroit, une saveure, une odeur, une parole, des phrases, des mots, des lettres.
Significatif ou insignifiant, ça te fait penser.
Bien ou Mal, ça te fait penser.
Tout, ça te fait penser.
Rien, ça te fait penser.
Tu y penses, même si tu ne dois pas.
Tu en ai consciente, c'est plus fort que toi.
La réminescence en entraine plusieurs, chaque moment, chaque instant se chamboule... ça continue, ça se répète et ça recommence. Tout recommence et tu reviens à la case départ. La case que tu avais pensé passer, la case à laquelle tu pensais avoir avancer, mais finalement tu recules. Avance-t-on vraiment ou faisons nous simplement reculer dans le temps. Vivre dans le passé... Anticiper.
Anticiper ce qui arrivera ou ce que nous aimerions qu'il arrive.
Réminescence ou anticipation, le passé ou le futur...
Dans quel monde vit-on réellement? On ne fait que repenser au passé et prévenir le futur. On ne s'aventure que dans ce qu'on aimerait, mais rarement les événements se passe comme nous avions anticiper. Tu calcules et interprètes ce que devrais arriver. Mais quand cela arrive vraiment? Jamais, alors pourquoi anticiper? Mais pourquoi penser au passé
Consciente, tu l'es, je le suis. Tu ne dois plus penser au passé, mais plutôt au futur. Tu dois cesser de vivre dans le passé, j'en suis consciente, je le sais et tu le sais. Réminescence, pourquoi. Coincidence ou Réminescence. Réminescence désirez par la vie, par le destin ou par notre pensée. C'est qui qui dirige? Peu importe, la réminescence que tu le veuilles, que je le veuille ou non, c'est présent. Que ça soit par simple coincidence ou que ta pensée, ma pensée créée cette coincidence, la réminescence est présente.
Tu le sais, je le sais, il ne faut pas.
Il ne faut pas vivre dans le passé, se concentrer sur le futur même si tu le sais et que je sais que ça ne se passera pas comme nous l'avions anticipé.

mercredi 14 octobre 2009

J'ai connu une ptite fille.

J'ai connu une ptite fille
Jme souviens plus dson nom
Jme souviens juste qu'elle était pas ben vieille
Jsais aussi qu'à lavais pas la vie facile
Que ces nuits étaient longues


Que durant cé nuit a devait acter
A l'avait pas ben lchoix
A devait jouer un jeux
Un personnage, un personnage qui était pas trop sien
Une personne ou plutôt un objet


Mais comme jvous dis a lavait pas ben lchoix

En se promenant sa rue st-cath
À peine vêti, à l'essayait de gagner sa vie
Avec ses obsédés, ses maniaques, ses psychopathes


Une vie pas facile
Un choix, la malchance, née sous la mauvaise étoile?
Mais ça l'existe pareil!


Une société qui évolue, une société indistrualisé, on est chanceux de vivre dans cette société......! N'importe quoi, la traites des Blanches, la prostitutions, c'est présent. Regarder autour de vous, vos proches, voudriez-vous les voir dans un état pareil, voudriez-vous que vos enfants, votre fille se mettre a nu devant pour une société qui ne roule que pour l'argent? Je n'ai pas vraiment de solution clé afin de changer ces situations, si ce ne serait que vous en parler ouvertement! Soyons ouvert, soyons conscient et arrêtons de dire que notre société va si bien!

jeudi 1 octobre 2009

Je me déteste.

Je me déteste.
Je me déteste d'avoir tant pleuré.
Je me déteste de t'avoir aimé comme je t'ai aimé.
Il y aura-t-il un jour une fin heureuse?
Il ya aura-t-il un jour de la réciprocité?
7 Femmes pour 1 Hommes...
Ne connaitrais-je jamais ce qu'est d'avoir une personne qui pense à toi de la même manière que tu penses à lui, qu'il t'aime tant par ta créativité, tes sauts d'humeur, ta colère, ta joie de vivre, ta tristesse, ta solitude, ta sociabilité...
Ne connaitrais-je jamais une personne qui m'aime de la même manière que je l'aime.
Il y aura-t-il un jour une fin heureuse?
Je me déteste de t'avoir aimé comme je t'ai aimé.
Je me déteste d'avoir tant pleuré.
Je me déteste.

Un sens à la vie.

Je suis assise à l'angora de l'école, mon Ipod dans les oreilles. Je me lève les yeux et je regarde autour de moi. Je ne vois que des êtres, des êtres tous différents que par leurs traits, leurs styles vesitmentaires, mais au fond, ils sont tous pareil. Nous sommes que 5 000 étudiants, et je me dis que ce monde est beaucoup trop grand pour moi. J'adore et déteste le fait qu'il y ai autant de personne à ce CÉGEP. J'aime rester assise à une table, le matin, en écoutant en répétition Californication de Red Hot Chilli Peppers, par contre, je me rends compte à quel point nous avons tous différents buts, différentes mentalité, différente culture, mais je suis siiii petite parmis eux. Je suis qu'une parcelle, qu'un point, qu'une de plus....tout simplement. C'est à ce moment précis que je me dis qu'il est presqu'impossible de resortir du lot, se démarquer. Devrais-je crier haut et fort afin qu'on me remarque, qu'on se souvienne de moi.

Comment peut-on faire pour être différente, au fond, on peut, sans problème, mais comment peut-on faire pour changer la vie d'une personne, Une seule? Pour que votre nom reste imprègné, qu'on se souvienne de vous!
Il y a quelques mois, je me suis faite tatouée. Le relief d'un éléphant qui me rappelera toujours ma grand-mère. Cette personne est exceptionnelle à mes yeux. Sa trace, son odeur, sa pensée, ses morales me suivront tout au long de ma vie. J'ai réfléchis avant de faire ce tatoo, mais c'est après 6 mois qu'il en prends tout son sens.
Au centre de milliers, millions, milliards d'êtres j'aimerais marquer la vie d'une personne, j'aimerais lui apporter quelque chose de spécial, de différent.

Toujours au milieux de l'agora, parmis tous ces étudiants, j'essaie de trouver un sens à ma vie. Les études, le travail, les sorties, est-ce vraiment la vie? Suis-je la seule à poser ces questions? Suis-je différente ou simplement folle? Suis-je la seule qui ose se poser ses questions?
9h50: Mon cours de français, je dois me diriger, je dois y aller. Sans d'autres choix, les études, le travail, les sorties; c'est ainsi que notre vie doit se dérouler...C'est notre société...





jeudi 24 septembre 2009

Bullshit - un simple jeu de carte...

Pourquoi se déprimer.
Pourquoi je devrais me pourrir la vie pour quelqu'un qui n'a que joué aux cartes.
Il a bullshitter comme un bon menteur. Il a bloffer. Il m'a tout dit et il a menti.
Il savait quelles bonnes cartes jouer aux bons moments, par contre, des sentiments ça ne se joue pas aux cartes.
Bullshit, n'est qu'un simple jeu.

Mais de toute façon, sa sert à rien de déprimer. Je me dis seulement que rien n'arrive pour rien. Qu'il est entré dans ma vie, pour une bonne raison et qu'il en ai sortie pour une toute autre.
En espérant que le destin, me réserve un futur meilleur.



lundi 14 septembre 2009

Le Temps

Le temps. Une faculté que je déteste pour l'instant. Je déteste le chiffre 24, mais apprécierait peut-être d'avantage si se serait 48 ou même 72! Le temps. Impossible d'y toucher, de le modifier, de l'avancer, de le reculer. Il est là, surnois, à regarder les gens se tuer. Se tuer à tout rentrer dans 24h. Possible, vous me direz. Très bien, je vous crois. Dites moi votre secret.

J'y ai cru.

Peut-être un peu trop même. Pourtant, cette fois-ci je me suis retenue, mettant mes sentiments de côté afin de ne pas trop m'emballer à l'idée.

J'y ai tout de même, une fois de plus, cru.


J'y ai cru, malheureusement.

Je n'aurai jamais dû m'embarquer encore une fois dans ses conneries. J'aurais dû m'en douter, c'était trop beau pour être vrai.
J'aurais simplement apprécier que Le Temps s'arrête un instant. J'aurais aimé rester en sa compagnie, de l'écouter, l'entendre rire, pleurer, se confier, l'effleurer, le toucher, l'embrasser. Si nous aurions plus de temps à consacrer.. tout serait si différent. Temps! Je t'implore, arrête toi s'il te plaît, qu'un simple instant afin que je grave dans ma mémoire à jamais c'est beaux moments! D'enregistrer ses paroles, ces mots qu'ils me chuchottaient à l'oreille, photographier son sourire, son corps et son dos tatoué, toucher une dernière fois ses mains, effleurer les traits de son visage. Tantôt si bien, comprise et heureuse; tantôt perdue, doutant, incomprise, hésitante et remettant en question tout ce qui venait de se passer. Le bonheur c'est bien, mais le malheur est pire. La tristesse, telle une tempête, ravage tout sur son passage. Elle ne laisse rien, aucune trace, aucune piste pour retrouver le sentiment que nous avions juste avant qu'elle nous passe sous le nez.
Mais malheureusment, au moment même où j'implorais Le Temps, tout était déjà passé, ce n'était plus que de simple souvenir...

mercredi 29 juillet 2009

Quoi de plus simple et pure que la franchise?

Le vent me souffle au visage. Je l'entend me murmurer quelque chose, mais c'est indescriptible, méconaissable, inobservable, infiniment petit que je n'arrive à percer ce qu'il essai de me dire. De l'oublier, de ne plus y penser, de lâcher prise. Si seulement je pourrais avoir une idée fixe de ce qu'il me chuchotte à l'oreille, tout serait si simple. De savoir ce qu'il pense vraiment, d'avoir la possibilité ne serait-ce que 30 secondes dans son esprit afin de tout comprendre, connaître la vérité!

La vérité. Quoi de plus simple et pure que la franchise. Une qualité qui est selon moi importante, mais plutôt difficile à accepter. Être franc, sans avoir peur de la réaction de l'autre personne. Mais croyiez-vous que même si quelques fois la vérité peut choquer, nous devrions toujours être franc? Dans n'importe quelle situation, la vérité me fait très peur, mais je crois que c'est toujours mieux que l'hypocrisie. Nous devons simplement l'accepter et être heureux de ne pas d'être fait jouer dans le dos.

Nous savons tous qu'un jour ou l'autre la vérité sortira. Et c'est à ce moment précis que tout est plus difficile, que l'image que nous avions tracé avec temps partira en fumé pour laisser place à la vérité. En attendant celle-ci, je reste assise dans l'ignorance et l'insouciace de regarder mon paysage se dessiner. Un paysage, rien n'a voir avec l'illusion; un paysage de sincérité!

Quoi de plus simple et pure que la franchise!

jeudi 9 juillet 2009

La poursuite du bonheur.

Le bonheur.
Est-ce quelque chose, un sentiment ou une émotion qui vient et passe. Devrions-nous être à la poursuite du bonheur ou simplement le laisser venir à nous. Et si c'est une vague qui ne revient jamais, irréversible, que nous pouvons pas contrôler? J'essaie de me persuader que sa reviendra, mais si nous ne pouvons le contrôler, si nous attendons une vie complète pour revoir le bonheur. Et si cela ne revient jamais?! C'est la question que je me pose sans cesse.

L'été ne m'a pas apporté ce que je pensais finalement... Je croyais que l'été ferais toute la différence, mais finalement je crois que non. Je crois que c'est MOI et seulement moi qui peut faire une différence dans ma vie, mais comment? C'est difficile de dire: Ce matin, je suis heureuse. Et puis, je suis peut-être une simple égoïste, qui n'est jamais contente de ce que je possede. Effectivement, j'ai un toit, des amis extraordinaire et une famille malgré quelques différents, sera toujours là pour me sortir du trouble! Alors, pourquoi je demande plus. Être égoïste est loin d'être une qualité, je crois même que c'est un des pires défaults! Et je suis également très hypocrite, puisque je paraîs être très heureuse. L'hypocrisie, est également un défaults que je déteste. Tous ces défaults, je les possède, et ces ceux que j'évite le plus dans mon entourage. Oui, je suis une personne contradictoire et qui ne comprend pas très bien pourquoi j'agis ainsi.

Je souhaite simplement que le bonheur reviendra un jour. Devrais-je être à la poursuite du bonheur, courrir vers ce qui me rends heureuse et éviter ce qui me rends malheureuse. Facile à dire, mais très difficile à exercer. Je ne peux même pas cibler ce qui me rends heureuse ou malheureuse. Les gens disent que je suis une personne optimiste et je crois que c'est plus tôt le contraire. Certes, je fais souvent paraître le contraire de ce que je ressens. Nous espérons tous avoir le bonheur, le garder et ne jamais le relâcher. Mais s'il s'enfuit lorsque nous avons la garde baissé et qu'il disparaît à jamais. Quoi faire? Pourquoi attendre......le pourchasser me semble la meilleure solution. En espérant le retrouver un jour!

lundi 18 mai 2009

Je n'y crois toujours pas.

Faites vous confiance en la vie?
Croyiez-vous que faire de bonnes actions, qu'être une bonne personne, vous amènera du bien? Ou peut-être vous croyiez au destin, que nous soyons bon, mauvais, malhonnête ou sincère, nous faisons que suivre un simpe chemin tracé à l'avance? Il y a également l'explication du simple hasard! Être au bon endroit au bon moment par pure hasard. De rencontrer les bonnes personnes à un certain moment de sa vie pour des raisons quelconques, mais que c'est à ce moment précis que vous deviez les rencontrer...sinon ce ne serait jamais.

Pendant très longtemps, je croyais en ce fameux destin. Je croyais que rien n'arrivait pour rien et que tout arrivait pour les bonnes raisons. Je n'y crois plus. Cette fin de semaine a été pour moi très mouvementé et innatendue. Un ami a péri, dans la rivière des milles-îles, noyé par le courant et par l'eau glacé de cette rivière. Peut-être avez-vous entendu parlé de cette histoire, certes il était imprudent, mais qui mérite une chose pareil. C'était un ami ou plutôt une connaissance, puisque maintenant je n'ai plus l'impression que je le connaissais. J'ai manqué quelque chose. Je n'ai pas passé plus de temps pour apprendre à le connaître davantage. C'est maintenant que je me rends compte, le visage figé par cette tragédie, que chaque moment est important. Chaque heure, chaque minute et chaque seconde où nous inspirons l'air est important, jusqu'au moment où nous devons expirer et recommencer ce cycle des milliers de fois. Chaque chose que l'on dit, chaque chose que l'on fait doit être pleinement profité.
Si je décède demain, je réalise que je n'aurai pas fait grand chose de ma vie. Je suis tanné des regrets et des remords, vivons pleinement de la vie! Faisons ce qui nous fait vibrer, arrêtons de faire des choses dont nous n'avons point envie. Pourquoi se torturer à faire ses choses qui ne se guères importantes, lorsque nous ne savons pas si nous mourrons dans les prochaines secondes.

Je n'y crois toujours pas et j'essai de me convaincre que tout ce qui arrive n'est que mensonge.

mercredi 13 mai 2009

Les apparences

Un beau quartier, une belle maison, des parents qui s'aiment plus que tout, 2 filles solidairent l'une envers l'autre, sur le bord de la mer tous les été, un chien...la famille parfaite, une vie parfaite...


La cadette âgée de 16 ans a le visage figé. Elle sait comment elle doit réagir devant son père qui lui crit des insultes. Elle est habituée à se genre de crise...face à cette situation, elle ne fait que l'écouter. Elle ne dit rien, ne fait aucun geste puisque connaissant son père, elle sait qu'il est un homme impulsif. Qu'il dit et fait des choses qu'il regrette par la suite. Alors, elle se tient droite. Il hausse le ton, beaucoup plus fort qu'à l'habitude. Elle n'est plus certaine si cette fois-ci, sa non-réaction sera efficace pour le calmer. Ne voyant toujours aucune réaction de sa fille, qui la regarde par-dessus la palissade de l'escalier, il s'impatiente et décide de monter. Il monte les escaliers avec difficulté, mais y parvient. La jeune fille a peur. Très peur, elle a le souffle couper. Ces pieds sont ancrés dans le sol et elle ne peut bouger. Il n'y a aucune issu. Son père l'a prend par le bras avec fermeté en lui criant les pires insultes sur cette Terre. Il lance et casse tout ce qu'il trouve sur son passage. Des draps, des crayons, des cahiers, des vêtements, tout.


Impuissante devant cette situation et ne pouvant plus entendre les cris de mon père et les pleurs de ma soeur, je fuis...

Aux petites heures du matin, la famille se réveil; les parents au travail et les enfants à l'école. La veille, il ne sait rien passé.


Oui, cette maison possède une bien belle façade, mais est-ce suffisant ?

dimanche 10 mai 2009

Les imprévus.

Ça fait longtemps, mais j'ai envie de vous le partager.
Ce soir là, jétais tannée. Plus que tannée, alors je suis partie.
Incapable de faire face à des situations stressantes je fui.

Je pars en voiture. Je fais simplement conduire, ''Roxanne'' de Police au fond. Je me fais remarquer et je m'en fous. Je chante, très fort et je me défoule. À toutes les fois que je l'etends, j'en a des frissons.
Je conduis toujours et la chanson fini. Qu'est-ce que je peux bien faire.......je continue à brûler de l'essence sans aucune raison valable. Je commence à me sentir coupable. Je réalise que je ne suis pas allée bien loin finalement. Une petite île, où je n'avais jamais mise les pieds. Je fais le tour et appui sur repeat. Je continue mes découvertes et vois un petit parc sur le bord de la rivière des milles-îles. Je ferme finalement mon moteur. Je fouille dans ma sacoche pour trouver mon ipod. Je ne le trouves pas, la seule chose que je trouve est un ancien paquet de Benson & Hedged que j'avais acheter pour mettre du pot à l'intérieur. Ne me jugez pas. Je le saisi. Je trouve quelques alumettes. Je sors et marche vers l'eau. Je veux m'assoir pour regarder. C'était beau. Le courant, les vagues, le vent qui soufflait, les arbres cassés par l'hivers, la solitude. Je veux m'assoir, le gazon est mouillée. Sans aucune hésitation, je m'assois. Dès que j'ai posé mes fesses sur le sol mouillé et froid, je vois un skate abandonné. Je le prends et assois mon derrière mouillé dessus. Je suis bien. Beaucoup mieux. Jallume finalement une cigarette. Je garde chaque bouffé dans ma gorge très longtemps. Le plus longtemps que ma tête peut le suporter. Je souffle. Je suis étourdis, j'ai mal à la tête, mais j'aime cette sensation. Je recommence. Cette fois-ci c'est beaucoup plus intense, je me lève debout et retombe directement sur le sol. Je n'ai pas peur et je recommence. J'entends des bruits. Je me retourne et personne. J'entends toujours les branches craquer, mais c'est fait avec agileté et subtilité. Veut-il me faire peur? Toujours personne, je continue à fumer. J'ai très mal à la tête. J'ai fini ma première, alors j'en allume une deuxième. Je vois non loin de moi un petit chat. Il est beau, gris et noir. Il s'approche vers moi lentement, c'était donc lui qui m'espionnait. Il s'approche et se frotte contre moi. Quelques instants plus tard, il part à la chasse aux insectes. Je me retourne vers la voiture de mon père. J'ai froid, mais je n'ose pas rentrer à la maison.
J'aperçois des balançoires, je me précipite comme un enfant vers celle-ci. Cigarettes toujours en main. Je ne suis plus étourdis. Je regarde le ciel noir, les étoiles sont belles. Je m'assoie, me balance comme jamais je ne m'avais balancée. Je me balance en regardant le ciel et commence à en avoir ma au coeur. J'aperçois mon petit espion qui s'en vient à ma rencontre. Je dépose es jambes sur le sol, éteints ma cigarettes et retourne sur mon skate. Je respire l'air si frais et si pure, purtant je ne suis pas du tout en campagne. Je me couche sur le skate et regarde les étoiles.

Bref, tout ceci pour vous dire à quel point c'était un samedi soir très bien finalement.
Je ne suis jamais retournée à se parc, mais je compte le faire, dès que j'en aurai l'occasion.

samedi 9 mai 2009

Je suis lâche.

J'ai réalisé aujourd'hui que je suis une personne lâche. Je suis incapable de ''mettre mes coulottes'' comme mon amie dit très souvent.

Aujourd'hui, je suis allé faire un remplacement à mon ancien emploi. Lorsque je suis arrivé devant la porte, j'étais nerveuse. Très nerveuse. En marchant dans les couloirs de cette école, j'ai été encore plus nerveuse. L'anxiété m'envaissait, je ne pouvais plus contrôler mes pas. C'est comme si mon corps avançait tout seul, je ne le dirigeait plus (Heureusement, puisque je serais partie en courant). Je me demandais pourquoi avais-je donc acceptée ce maudit remplacement. Ahhh oui, l'argent. Bref, je rentre. Je vois en premier une fille avec qui je m'entendais surper bien à l'époque. J'étais sérieusement très heureuse de la voir. Je crois que durant mon chift, c'était les seuls 5 sec. qui se sont bien passé. Par la suite, je l'ai vu. Merde! Je voulais mourir, m'évanouir, traverser le placher, être ailleur, n'importe où mais surement pas ici, devant lui. Il m'a fait de la peine, beaucoup de peine. Trop de peine. Bref, je l'ai vu. Horreur! Il m'a vu. Sourire monté jusqu'aux lèvres, il s'approche vers moi. Je ne sais pas quoi faire. Devrais-je le frapper, me reculer, l'ignorer pour tout ce qu'il m'a fait subir. Je n'ai jamais eu le temps de lui dire ma vrai façon de penser, est-ce le bon moment? C'est à ce moment précis, que j'ai réalisée que j'étais lâche. Il y avait milles possibilités comment je pouvais réagir, mais j'ai décidé de prendre la moins bonne, celle que je ne devais absoluement pas choisir. Retourner son sourire et me montrer sympathique. Il me fait un calin, plutôt une caresse j'pourrais même dire qu'il profitait du moment où j'étais collé contre lui. Incapable de le repousser, je reste là, je le laisse faire. Je préfère montrer que toute cette histoire ne m'a absoluement pas affectée. Et il recommence, une deuxième fois. Deux c'est trop. Mais toujours aussi lâche pour prendre mes distances, je le laisse faire. Je l'hai simplement pour cela! Je deviens qu'une incapable en sa présence! Il n'a plus de blonde. Il n'est plus avec mon amie. Il vient me voir et je lui sourit. Jsuis lâche! Bref, il est parti, mon nouveau numéro de cellulaire en main en me disant qu'il voudrait me voir très bientot. Puis, la suite logique des choses continue, pour la cinquième fois il me serre contre lui.

J'suis lâche...

vendredi 8 mai 2009

Pourquoi..

Bon, une nuit blanche, jsuis encore une fois cette nuit, incapable de dormir. Mon entourage me dit que c'est parce que ''je pense trop''! Comment peut-on trop penser! Voyons. Ils nont aucun rapport.

Bon, croyez vous quon peut profiter de la vie à 100%? N'avoir aucun regret. Jai limpression de passer à coté de quelque chose, jai limpression de ne pas vivre ma vie à 100%.
Vous savez ce qu'est ma plus grande peur, c'est d'oublier mes rêves, de ne plus avoir le gout de vivre, ne plus avoir la motivation ou ne plus avoir un but. Je n'ai jamais compris pourquoi les gens se suicidaient. Jai limpression ces temps si d'avoir consacrer 18 ans de ma vie focuser sur les autres. Lorsque je regarde mon entourage....tout à lair si simple. Lorsque je regarde les couples autour de moi c'est encore pire.....je ne lai comprends pas! Jai limpression que pour tout le monde autour de moi l'amour est siiiii facile. Un amoureux tous les mois......venez pas me dire que c'est le grand amour! Devrait-on attendre le grand amour?
Mais c'est quoi le grand amour! Ahhhh! Jcrois que je ny comprendrai jamais. Est-ce que cela vous ai déjà arrivé d'être intrigué envers quelqu'un. Tout ce que cette personne écrit ou dit me facine. C'est vraiment étrange, mais je ne le connais pas vraiment, mais j'aimerais. J'ai limpression de le comprendre dans ses pensés. Jaimerais qu'il me partage ce quil pense, ce quil aime, mais il ne sait même pas que j'existe. En faite, oui, il le sait, un cour commun au cégep, mais rien de plus. Bref, je trouve cela fascinant comment une personne peut en faciner une autre, mais comme ce n'est vraiment pas réciproque. Je trouve cela dommage. Jsuis pas timide. Il me gene. Beaucoup trop. La session s'est terminée, alors je n'ai pas eu la chance de lui montrer qui j'étais vraiment. Je trouve cela encore plus dommage. Bref, la session hivers achève et je pense toujours à lui. Je ne sais pas pourquoi je m'accroche à une personne qui se fiche complètement de moi. C'est étrange, mais on dirait qu'à toutes les fois que je ne pense plus à lui, quelque chose, un signe ou simplement lui apparait. Je crois au destin. J'ai limpression que la vie essai de m'envoyer des signes.

J'aime écrire, c'est le seul moyen que j'ai trouvé qu'il me permettait d'éclaicir toutes mes pensées. Peut-être que finalement je pense trop.