lundi 18 mai 2009

Je n'y crois toujours pas.

Faites vous confiance en la vie?
Croyiez-vous que faire de bonnes actions, qu'être une bonne personne, vous amènera du bien? Ou peut-être vous croyiez au destin, que nous soyons bon, mauvais, malhonnête ou sincère, nous faisons que suivre un simpe chemin tracé à l'avance? Il y a également l'explication du simple hasard! Être au bon endroit au bon moment par pure hasard. De rencontrer les bonnes personnes à un certain moment de sa vie pour des raisons quelconques, mais que c'est à ce moment précis que vous deviez les rencontrer...sinon ce ne serait jamais.

Pendant très longtemps, je croyais en ce fameux destin. Je croyais que rien n'arrivait pour rien et que tout arrivait pour les bonnes raisons. Je n'y crois plus. Cette fin de semaine a été pour moi très mouvementé et innatendue. Un ami a péri, dans la rivière des milles-îles, noyé par le courant et par l'eau glacé de cette rivière. Peut-être avez-vous entendu parlé de cette histoire, certes il était imprudent, mais qui mérite une chose pareil. C'était un ami ou plutôt une connaissance, puisque maintenant je n'ai plus l'impression que je le connaissais. J'ai manqué quelque chose. Je n'ai pas passé plus de temps pour apprendre à le connaître davantage. C'est maintenant que je me rends compte, le visage figé par cette tragédie, que chaque moment est important. Chaque heure, chaque minute et chaque seconde où nous inspirons l'air est important, jusqu'au moment où nous devons expirer et recommencer ce cycle des milliers de fois. Chaque chose que l'on dit, chaque chose que l'on fait doit être pleinement profité.
Si je décède demain, je réalise que je n'aurai pas fait grand chose de ma vie. Je suis tanné des regrets et des remords, vivons pleinement de la vie! Faisons ce qui nous fait vibrer, arrêtons de faire des choses dont nous n'avons point envie. Pourquoi se torturer à faire ses choses qui ne se guères importantes, lorsque nous ne savons pas si nous mourrons dans les prochaines secondes.

Je n'y crois toujours pas et j'essai de me convaincre que tout ce qui arrive n'est que mensonge.

mercredi 13 mai 2009

Les apparences

Un beau quartier, une belle maison, des parents qui s'aiment plus que tout, 2 filles solidairent l'une envers l'autre, sur le bord de la mer tous les été, un chien...la famille parfaite, une vie parfaite...


La cadette âgée de 16 ans a le visage figé. Elle sait comment elle doit réagir devant son père qui lui crit des insultes. Elle est habituée à se genre de crise...face à cette situation, elle ne fait que l'écouter. Elle ne dit rien, ne fait aucun geste puisque connaissant son père, elle sait qu'il est un homme impulsif. Qu'il dit et fait des choses qu'il regrette par la suite. Alors, elle se tient droite. Il hausse le ton, beaucoup plus fort qu'à l'habitude. Elle n'est plus certaine si cette fois-ci, sa non-réaction sera efficace pour le calmer. Ne voyant toujours aucune réaction de sa fille, qui la regarde par-dessus la palissade de l'escalier, il s'impatiente et décide de monter. Il monte les escaliers avec difficulté, mais y parvient. La jeune fille a peur. Très peur, elle a le souffle couper. Ces pieds sont ancrés dans le sol et elle ne peut bouger. Il n'y a aucune issu. Son père l'a prend par le bras avec fermeté en lui criant les pires insultes sur cette Terre. Il lance et casse tout ce qu'il trouve sur son passage. Des draps, des crayons, des cahiers, des vêtements, tout.


Impuissante devant cette situation et ne pouvant plus entendre les cris de mon père et les pleurs de ma soeur, je fuis...

Aux petites heures du matin, la famille se réveil; les parents au travail et les enfants à l'école. La veille, il ne sait rien passé.


Oui, cette maison possède une bien belle façade, mais est-ce suffisant ?

dimanche 10 mai 2009

Les imprévus.

Ça fait longtemps, mais j'ai envie de vous le partager.
Ce soir là, jétais tannée. Plus que tannée, alors je suis partie.
Incapable de faire face à des situations stressantes je fui.

Je pars en voiture. Je fais simplement conduire, ''Roxanne'' de Police au fond. Je me fais remarquer et je m'en fous. Je chante, très fort et je me défoule. À toutes les fois que je l'etends, j'en a des frissons.
Je conduis toujours et la chanson fini. Qu'est-ce que je peux bien faire.......je continue à brûler de l'essence sans aucune raison valable. Je commence à me sentir coupable. Je réalise que je ne suis pas allée bien loin finalement. Une petite île, où je n'avais jamais mise les pieds. Je fais le tour et appui sur repeat. Je continue mes découvertes et vois un petit parc sur le bord de la rivière des milles-îles. Je ferme finalement mon moteur. Je fouille dans ma sacoche pour trouver mon ipod. Je ne le trouves pas, la seule chose que je trouve est un ancien paquet de Benson & Hedged que j'avais acheter pour mettre du pot à l'intérieur. Ne me jugez pas. Je le saisi. Je trouve quelques alumettes. Je sors et marche vers l'eau. Je veux m'assoir pour regarder. C'était beau. Le courant, les vagues, le vent qui soufflait, les arbres cassés par l'hivers, la solitude. Je veux m'assoir, le gazon est mouillée. Sans aucune hésitation, je m'assois. Dès que j'ai posé mes fesses sur le sol mouillé et froid, je vois un skate abandonné. Je le prends et assois mon derrière mouillé dessus. Je suis bien. Beaucoup mieux. Jallume finalement une cigarette. Je garde chaque bouffé dans ma gorge très longtemps. Le plus longtemps que ma tête peut le suporter. Je souffle. Je suis étourdis, j'ai mal à la tête, mais j'aime cette sensation. Je recommence. Cette fois-ci c'est beaucoup plus intense, je me lève debout et retombe directement sur le sol. Je n'ai pas peur et je recommence. J'entends des bruits. Je me retourne et personne. J'entends toujours les branches craquer, mais c'est fait avec agileté et subtilité. Veut-il me faire peur? Toujours personne, je continue à fumer. J'ai très mal à la tête. J'ai fini ma première, alors j'en allume une deuxième. Je vois non loin de moi un petit chat. Il est beau, gris et noir. Il s'approche vers moi lentement, c'était donc lui qui m'espionnait. Il s'approche et se frotte contre moi. Quelques instants plus tard, il part à la chasse aux insectes. Je me retourne vers la voiture de mon père. J'ai froid, mais je n'ose pas rentrer à la maison.
J'aperçois des balançoires, je me précipite comme un enfant vers celle-ci. Cigarettes toujours en main. Je ne suis plus étourdis. Je regarde le ciel noir, les étoiles sont belles. Je m'assoie, me balance comme jamais je ne m'avais balancée. Je me balance en regardant le ciel et commence à en avoir ma au coeur. J'aperçois mon petit espion qui s'en vient à ma rencontre. Je dépose es jambes sur le sol, éteints ma cigarettes et retourne sur mon skate. Je respire l'air si frais et si pure, purtant je ne suis pas du tout en campagne. Je me couche sur le skate et regarde les étoiles.

Bref, tout ceci pour vous dire à quel point c'était un samedi soir très bien finalement.
Je ne suis jamais retournée à se parc, mais je compte le faire, dès que j'en aurai l'occasion.

samedi 9 mai 2009

Je suis lâche.

J'ai réalisé aujourd'hui que je suis une personne lâche. Je suis incapable de ''mettre mes coulottes'' comme mon amie dit très souvent.

Aujourd'hui, je suis allé faire un remplacement à mon ancien emploi. Lorsque je suis arrivé devant la porte, j'étais nerveuse. Très nerveuse. En marchant dans les couloirs de cette école, j'ai été encore plus nerveuse. L'anxiété m'envaissait, je ne pouvais plus contrôler mes pas. C'est comme si mon corps avançait tout seul, je ne le dirigeait plus (Heureusement, puisque je serais partie en courant). Je me demandais pourquoi avais-je donc acceptée ce maudit remplacement. Ahhh oui, l'argent. Bref, je rentre. Je vois en premier une fille avec qui je m'entendais surper bien à l'époque. J'étais sérieusement très heureuse de la voir. Je crois que durant mon chift, c'était les seuls 5 sec. qui se sont bien passé. Par la suite, je l'ai vu. Merde! Je voulais mourir, m'évanouir, traverser le placher, être ailleur, n'importe où mais surement pas ici, devant lui. Il m'a fait de la peine, beaucoup de peine. Trop de peine. Bref, je l'ai vu. Horreur! Il m'a vu. Sourire monté jusqu'aux lèvres, il s'approche vers moi. Je ne sais pas quoi faire. Devrais-je le frapper, me reculer, l'ignorer pour tout ce qu'il m'a fait subir. Je n'ai jamais eu le temps de lui dire ma vrai façon de penser, est-ce le bon moment? C'est à ce moment précis, que j'ai réalisée que j'étais lâche. Il y avait milles possibilités comment je pouvais réagir, mais j'ai décidé de prendre la moins bonne, celle que je ne devais absoluement pas choisir. Retourner son sourire et me montrer sympathique. Il me fait un calin, plutôt une caresse j'pourrais même dire qu'il profitait du moment où j'étais collé contre lui. Incapable de le repousser, je reste là, je le laisse faire. Je préfère montrer que toute cette histoire ne m'a absoluement pas affectée. Et il recommence, une deuxième fois. Deux c'est trop. Mais toujours aussi lâche pour prendre mes distances, je le laisse faire. Je l'hai simplement pour cela! Je deviens qu'une incapable en sa présence! Il n'a plus de blonde. Il n'est plus avec mon amie. Il vient me voir et je lui sourit. Jsuis lâche! Bref, il est parti, mon nouveau numéro de cellulaire en main en me disant qu'il voudrait me voir très bientot. Puis, la suite logique des choses continue, pour la cinquième fois il me serre contre lui.

J'suis lâche...

vendredi 8 mai 2009

Pourquoi..

Bon, une nuit blanche, jsuis encore une fois cette nuit, incapable de dormir. Mon entourage me dit que c'est parce que ''je pense trop''! Comment peut-on trop penser! Voyons. Ils nont aucun rapport.

Bon, croyez vous quon peut profiter de la vie à 100%? N'avoir aucun regret. Jai limpression de passer à coté de quelque chose, jai limpression de ne pas vivre ma vie à 100%.
Vous savez ce qu'est ma plus grande peur, c'est d'oublier mes rêves, de ne plus avoir le gout de vivre, ne plus avoir la motivation ou ne plus avoir un but. Je n'ai jamais compris pourquoi les gens se suicidaient. Jai limpression ces temps si d'avoir consacrer 18 ans de ma vie focuser sur les autres. Lorsque je regarde mon entourage....tout à lair si simple. Lorsque je regarde les couples autour de moi c'est encore pire.....je ne lai comprends pas! Jai limpression que pour tout le monde autour de moi l'amour est siiiii facile. Un amoureux tous les mois......venez pas me dire que c'est le grand amour! Devrait-on attendre le grand amour?
Mais c'est quoi le grand amour! Ahhhh! Jcrois que je ny comprendrai jamais. Est-ce que cela vous ai déjà arrivé d'être intrigué envers quelqu'un. Tout ce que cette personne écrit ou dit me facine. C'est vraiment étrange, mais je ne le connais pas vraiment, mais j'aimerais. J'ai limpression de le comprendre dans ses pensés. Jaimerais qu'il me partage ce quil pense, ce quil aime, mais il ne sait même pas que j'existe. En faite, oui, il le sait, un cour commun au cégep, mais rien de plus. Bref, je trouve cela fascinant comment une personne peut en faciner une autre, mais comme ce n'est vraiment pas réciproque. Je trouve cela dommage. Jsuis pas timide. Il me gene. Beaucoup trop. La session s'est terminée, alors je n'ai pas eu la chance de lui montrer qui j'étais vraiment. Je trouve cela encore plus dommage. Bref, la session hivers achève et je pense toujours à lui. Je ne sais pas pourquoi je m'accroche à une personne qui se fiche complètement de moi. C'est étrange, mais on dirait qu'à toutes les fois que je ne pense plus à lui, quelque chose, un signe ou simplement lui apparait. Je crois au destin. J'ai limpression que la vie essai de m'envoyer des signes.

J'aime écrire, c'est le seul moyen que j'ai trouvé qu'il me permettait d'éclaicir toutes mes pensées. Peut-être que finalement je pense trop.