jeudi 26 août 2010

Suffit le côté 'safe', j'ai peur, mais je fonce

Quand je ne m'en attendrai pas... quand je ne m'en attendrai pas...
Oui, c'est le cas de le dire quand je ne m'en attendais pas.
Je m'attendais pas à ça, certainement pas maintenant
Je m'attendais pas à ça, pas tout du suite, juste après toi.

Mais pourquoi pas!
Pourquoi que je ne pourrais pas faire confiance à la vie
Pourquoi devrais-je encore une fois contourner ce qu'elle m'amène, changer de chemin, fuir
Pourquoi devrais-je rester du côté 'safe

Suffit, je suis épuisée de courrir
Essoufflée de nager à contre-courant
Alors, j'y vais, je fonce dans l'inconnu
J'ai peur, Ohh que oui
Mais peu importe, j'ai décidé de vivre, de vivre à 1000km/h, de vivre spontanément
Suffit la nostalgie, j'ai décidé de profiter du moment présent, de tout ce que la vie m'apporte et je n'ai pas du tout été déçu depuis

Suffit le côté 'safe', j'ai peur, mais je fonce

mercredi 4 août 2010

Je contemple le ciel et les oiseaux.

Je conduis et tu es assis à côté de moi.
Tu me signales pour la 4eme fois de faire attention aux cyclistes, de tourner à droite à la prochaine lumière et de ralentir plus doucement aux arrêts. Et moi j'acquiese d'un signe de la tête, je monte le son pour essayer d'enterrer le vacarme de mes pensées et mes yeux qui me trahissent toujours. Je me tourne et regarde le ciel, en pensant à autre chose. Je regarde le ciel en pensant comment c'était avant. Comment on était avant. Si j'aurais été plus patiente avant. Si j'aurais vraiment réagis comme ça avant. Si j'aurais juste été plus attentive à tes histoires, si je te trouvais plus drôle, plus souriant, plus charmeur et plus flirteur. Ton regard a changé, mais surtout le mien. J'ai l'impression de vivre dans un rêve que j'ai fait la nuit passé, de vivre un amour passé en retard.

Et moi je suis toujours là, à regarder le ciel, à contempler les nuages et les oiseaux. À envier leur liberté et leur simplicité. J'ai l'impression qu'on me les a arraché à moi. Mes ailes, ma liberté, ma simplicité. 'Slow Cheetah' - Red Hot Chili Peppers. J'ai l'impression que tout devient flou, que tu n'es plus là et que je pars pour un long voyage. Je fais comme cet oiseau dans le ciel bleu, sous la chaleur du soleil qui plombe. ''Mysterious girl misunderstood'..J'ai l'impression d'être une incomprise de la vie. Que personne comprend mon point de vue et que personne veut entendre mon opinion. Alors, de plus en plus j'ai appris a me taire et ne plus parler. Je ne parle plus, mais écoute davantage, observe et apprend. 'Everyone has so much to say, They talk, talk, talk their lives away
Don’t even hesitate' La tune est faite pour moi. Tout concorde. Mais au même moment que je jouie de mon imagination, de la coordination avec de la musique en observant le vol d'un oiseau blanc, tu switches pour la radio. Fuck, encore lady gaga! Bon, mon imagination a arrêté là. Je me demande desfois c'est quoi tu me trouves. Apport me répéter que je suis belle (déjà là je comprends rien)...je comprends pas..

Et cette fois-ci c'est trop, je chiale sur 95,9 et vante Stadium Arcadium. Je reswitches pour mon cd, sans ton accord et replonge dans mon imagination sans fin. Je m'imagine conduire sans arrêt. Conduire vers n'importe où, simplement conduire avec cette chanson sur repeat. Je veux l'écouter sans arrêt, fort, a tue tête, pour ne plus entendre mes pensées. Je veux conduire avec cette chaleur, les fenêtres descendues. Au même moment où je monte le son, toi tu le baisses. J'entends plus rien, j'entends les camions, les autos, les klaxons, je suis de retour sur la Terre. Je regarde le vieux monsieur qui traverse la rue avec difficulté, canne à la main, le gars devant lui qui s'impatiente. Le bruit de la lumière qui rend anxieu le monsieur qui tente péniblement de traverser la rue. Le gros beat de l'Italien a côté de moi, ses lunettes blanche, son chandail beaucoup trop petit pour lui et sa chaîne en or me mette hors de moi. Je suis rendu si impatiente et décourager envers les autres que j'aime mieux être toute seule, sur mon balcon avec Paulo Coelho.

Bon, la lumière est verte. Maintenant je me mets a stressé parce que j'ai plus rien a te dire. Avant, je disais n'importe quoi et je me posais pas de question. Mais maintenant, l'officialité me stress et me rend silencieuse. Faudrait peut-être que je place un mot. Je pense trop a sortir quelque chose qui aurait du bon sens.. A quoi bon...le silence ne me tue pas, me fait même du bien. Je laisse tomber mon plan et essaie malgré le peu de Srip my mind, de replonger dans mon imagination. Ahhh, tu parles au téléphone. J'avais même pas remarquer. Il parle.....a son amie, à sa meilleure amie en faite. J'ai l'impression que la complicité que j'avais avec toi c'est envolé, par notre simple nouveau statut. Et je me mets a m'imaginer comment c'était avant, comment tu m'appelais tout le temps et que c'était toujours drole, comment on était incapable de passer une journée sans se parler, comment j'étais à tes yeux. Merde, j'ai les yeux pleins d'eau. Je fixe droit devant moi et essaie de cligner des yeux sans faire tomber les larmes pour éviter le discours du genre.....bon qu'est-ce qu'il y a encore. Il continu a parler et a rire au téléphone. Finalement il finit par raccrocher, et je lui demande qu'est-ce qu'il se passait. Il m'écoute même pas et est déjà en train de la texter. Je répète pendant qu'il tape sur son clavier, mais m'entends toujours pas. Tant pis, je laisse tomber et reste concentrer sur l'eau dans mes yeux. L'amour d'avant, l'amour trop tard, l'amour du passé.

Je suis toujours là, à côté de toi, à contempler le ciel, a rêver et suivre des yeux le vol d'un oiseau blanc. Et je monte le son et essaie encore une fois d'enterrer mes pensées.

lundi 2 août 2010

Je me suis assise à côté d'un étranger.

Je me suis assise à côté d'un étranger lors d'une réception où je connaissais pas plus de 10 personnes. Il m'a prêté son veston et m'a montré les étoiles et me les a donné. On a écouté de la musique, on s'est étendu dans l'herbe et on a rit! Haaaaa....ça pour rire, on n'a rit! Abrillé par un ciel étoilé je l'ai enlacé. J'ai enlacé cet inconnu, comme si c'était mon amant, comme si je le connaissait depuis longtemps. Je frolais chancune des parties de mon corps en essayant de le comprendre, de lire ses pensées. Au rythme de la musique, il glissait ses doigts pour apprendre, apprendre ma vie. Et je faisais pareil, je voulais tout savoir et comprendre. Mais enfaite, je me foutais du passé, me fouttais du futur, seul le présent comptait.
J'ai gravé, savouré et savouré chaque instant jusqu'à la fin. Parce que oui, il y a une fin qu'on pouvait pas contrôler, on pouvait rien n'y faire, c'est comme ça. Et j'ai dit adieu à cet inconnu, à l'inconnu de mes rêves.
Et aujourdhui, je suis assise devant cet océan qui me sépare de cet inconnu et je me surprend a rire. Toute seule. Au milieu de cette plage déserte, écoutant Coldplay, cela me rend tout simplement heureuse.
Et je continue de fixer droit devant, comme si je le regardais droit dans les yeux, comme si je pouvais sentir son odeur, comme si je pouvais encore une dernière fois le toucher.
Et quand je repense à ses jours passés, je le regarde. Je le regarde malgré les milliers de kilomètre, malgré cet océan qui s'est placé entre nous, je le regarde. Je le regarde et il m'a donné des étoiles, les étoiles qu'on m'avait volé.

mardi 11 mai 2010

Je veux marcher.

Sa va? sa va? T'as pas l'air d'aller aujourd'hui!

Oui sa va ! Faites pas comme si cela vous importait à toujours me demander si sa va. Je vais pas bien et qu'est-ce que sa peut bien vous faire. Je suis tanné de l'hypocrisie des gens qui vous demande comment sa va. Si je te dis que sa va pas....tu me regardes étrangement et tu évites le sujet. Si tu veux vraiment savoir, sa me tente juste pas de t'en parler. Alors je joue moi aussi le jeu de l'hypocrite en disant que sa va bien, en te souriant et en riant. Si vous saviez ce que je pense de vous dans ma tête.......
Moi qui me qualifait de sociable, bien peut-être que finalement jsuis bien mieux toute seule.

Lachez moi! Faite comme si j'existais pas, ignorez moi.

Je veux marcher, fumer librement sans me sentir coupable de rien. Je veux que mon ombre soit la seule qui marche à côté de moi, que le battement de mon coeur, le crépittement des feuilles et le vent qui souffle soient les seuls bruits que j'entende. Je ne veux pas de responsabilité, je veux être seule, je suis épuisé de vous et de vos conneries.

Je veux marcher, je veux marcher seule.

dimanche 2 mai 2010

Je suis désolée

Je suis désolée d'être moi, d'être comme ça
D'avoir de la peine, lorsque tu m'offres ton sourire
Je suis désolée d'être moi, d'être comme ça
De m'isoler lorsque je suis avec toi
Je suis désolée d'être moi, d'être comme ça
De m'enfuir lorsque je suis dans tes bras

Et si je m'étais écoutée
Et si finalement je ne t'avais jamais accepté
Et si tu n'avais pas persisté, je ne serais pas devenu ce bijou dont tu rêvais tant
Malheureusement on oublie les vieux bijoux, ils ne brillent plus comme avant et notre tentation se dirige vers un tout nouveau, plus brillant et plus beau

Et si elle n'étais pas celle que tu pensais
Et si elle n'étais pas celle que tu t'imaginais
Et si elle ne comprenais toujours pas ce que tu lui trouves à cette Tirante
Elle n'y comprends toujours rien
Elle a peur, peur de perdre, peur de te décevoir
Elle n'ose plus écrire et dire
Je fui et cherche

Je fui ta personne et la mienne, de peur qu'ils se rencontrent comme pour la première fois, de peur qu'ils ne s'aiment pas, de peur qu'il passe à côté d'elle et qu'il ne la regarde même pas.

Je fui ma personne, parce que je suis incapable d'accepter, de me contrôler et de me laisser aller. De laisser mes émotions glisser entre tes mains.

Je te fui de peur que tu m'oublies, de peur de ne plus voir ses étincelles dans tes yeux

Et si je me laissais aller
Et si je m'abandonnais complètement dans tes bras
Et si je laissais la vie me guider
J'ai hâte à ce jour

Je suis désolée, ce soir j'ai voler la place de l'écrivaine
Pour effacer mes pleurs et oublier ma peine

dimanche 7 mars 2010

Toi.

Mais oui, toi, où es-tu?
Tu m'avais dit que tu serais toujours là.
Tu me répétais que tu me protégerais.
Tu me disais que tu m'observerais et que tout allait bien

Mais,
Tu n'étais pas là lorsque je pleurais.
Tu n'étais pas là lorsque j'avais peur.
Tu n'étais pas là lorsque j'avais mal.

Mais oui, toi! Où es-tu!
Tu n'as jamais tenu tes promesses

Fuck toi!

mercredi 3 mars 2010

Oui, j'ai peur de vous!


Oui.
Oui, j'ai peur de vos regards.
Oui, j'ai peur de vos jugements.
Oui, j'ai peur de vous chers spectateurs.
Oui, j'ai peur de ce que direz après mes textes.
Oui, j'ai peur.

J'ai peur de ce que vous penserez.
Ce que vous répéterez et ce qu'ils penseront.
Les jugements vis-à-vis la marginalité me tue.

Par vos jugements, vous perdez du temps à connaître les personnes!
Soyons ouvert d'esprit, ouvrons les yeux sur le monde, soyons marginal, différent et original!
Sortez de cet univers où vous vous ressemblez tous! Nous nous caractérisons entant qu'Homme, mais abat la masse et prônons la diversité !

Mais j'ai tout de même peur de vous, mes lecteurs, mes observateurs, ceux que je croise tous les jours avec un simple regard!

lundi 1 mars 2010

J'ai brisé un coeur.

J'ai brisé un coeur
Comme un pot de fleur
Je lai échappé
Pas même rammassé

Assise à regarder les morceaux
Toujours au sol, je n'ose assumer
Son regard taché de mépris
J'ai brisé un coeur

J'ai brisé un coeur
Pas n'importe lequel
Le seul qui battait
Dans mes deux oreilles

J'ai échappé un vase
Il a casé en morceaux
De ses mains, il voulut remettre en place
Mais je lui ai dit de laissé tomber

J'ai brisé un coeur
comme la dernière fois
Que la grande peur
s'était levé en moi

J'ai brisé un coeur par un simple baiser

mercredi 24 février 2010

TAKE A BREATH

Aujourd'hui, j'ai respiré.
J'ai respirée l'air pollué par la vie. L'air pollué par ses gens hypocrite.
Ce monde de fou dans lequel on vit. Ses gens qui n'ont aucune conscience.
Aucune conscience de la vie, qui navige, qui se laisse flotter par le courant.
Des gens tous identiques!

Malgré tous ses gens qui m'entoure, je tente du mieux que je peux de nager à contre courant. D'être différente, de faire la différence sans porter attention au regard des autres.
Je sens cette pression constante qui m'entraîne vers le fond. Comme si un monstre ne cherchait qu'à m'attraper pour me dévorer. Je le fui autant que possible, même si je le crois inévitable. La fatalité de celle-ci me hante. Malgré tout je respire.

Je respire avec tout le mal du monde.
Je respire malgré tous ses jugements.
Je respire malgré la pression.
Je respire
J'attend impatiemment le jour où je sortirai de cette eau pollué.

- PHOTO PROFILE: TAKE A BREATH UNDER THE PRESSION.

mardi 16 février 2010

Aujourd'hui, je me suis levée.

Aujourd'hui, je me suis levée et j'ai pleurée.
J'ai pleuré en chantant, en pensant à toi.

Ils me disent d'abandonner.
d'autre me disent de foncer.
Ils me répètent de m'enfuir et les autres de te sauter dans les bras.
Et moi. Moi, ce que je veux, on l'oublie.
On pense au couple. On pense à l'ensemble, au tout. Mais moi, on m'oublier.
Tu m'embrasses lorsque je veux pas.
Tu me touches lorsque je t'ai dit non.
Mais ils me disent de te dire je t'aime.
Ils me le demandent sa. Est-ce que je t'aime?
Je le sais même pas. Alors je laisse tombé.
Je suis incapble de continuer.

Aujourd'hui, je me suis encore levée et j'ai pleurée.
J'ai pleurée en pensant à nous.
Ce que sa ferait d'être ensemble.
Le Bien-être, je l'ai.
Tu me connais.

C'est justement sa que j'ai peur. Tu me connais plus que je me connais moi meme.
Tu sais quoi dire au bon moment pour me faire tomber.
Tu sais quoi faire au bon moment pour me faire penche.r.
Tu sais où me toucher pour me faire frisonner.
Tu sais comment poser tes lèvres sur les miennes pour me faire fondre.

Tu aimes toutes les parties de mon corps.
De la tête aux pieds tu m'admires.
De la tête aux pieds tu m'embrasses pour me faire tomber.
De la tête aux pieds tu me caresses.

Aujourd'hui, je me suis levée et j'ai pleurée.
Je me suis levée en pensant à mes choix.

Ces choix que je suis jamais capable d'assumer.
Ces choix que je suis incapable de trouver la réponse.
Ces choix qui me hantent sans cesse
Ces choix qui me stress, qui me monte à la tête.
Cette pression que je ressens constaement.
Je suis incapable de continuer, sa peut pas être comme sa l'Amour.

Ils me disent d'abandonner.
d'autre me disent de foncer.
Ils me répètent de m'enfuir et les autres de te sauter dans les bras.
Et moi. Moi, ce que je veux, on l'oublie.
On pense au couple. On pense à l'ensemble, au tout. Mais moi, on m'oublier.
Tu m'embrasses lorsque je veux pas.
Tu me touches lorsque je t'ai dit non.
Mais ils me disent de te dire je t'aime.
Ils me le demandent sa. Est-ce que je t'aime?
Je le sais même pas. Alors je laisse tombé.
Je suis incapble de continuer.

Je sais plus quoi faire, alors je ne fais rien.
Je sais plus quoi dire, alors je ne dis rien.

dimanche 17 janvier 2010

Une chandelle


Une chandelle.
Cette vie dans laquelle je pensais grandir, ne fais que s'éteindre peu à peu
Cette vie dans laquelle je pensais avancer, ne fais que rétrécir à vue d'oeil

Un simple coup de vent peu m'éteindre, me frapper.
Pendant que je me consume une simple goutte laisse une trace jusqu'au dernier souffle
Ces larmes qui ont coulé sur moi ne font que s'accumuler et ne disparaitreront jamais
Cette contracdion me hante jour après jour
Heureuse, je le suis
Malheureuse, sans cesse


Cette flamme qui me fascine tant, me fais pensé à moi

lundi 11 janvier 2010

Un renouveau.

Nouveau pays.
Nouveau départ.
Nouvelle vie.
Pourquoi pas?
Nouvelles rencontres.
Nouvel amant.

Ils étaient amant et aujourd'hui sont mourrant.
Une passion commune, un interdit, un mystère qui ne s'arrête jamais.
Transportez cette passion 50 ans dans le futur et je crois que les choix n'auraient pas été les mêmes.
Il a tout fait pour elle. Tout ce que son mari alcoolique ne lui offrait pas.
Il a prit soin d'elle comme si c'était sa propre femme.
Ainsi, les choix ont été fait. Elle a décide de mener cette vie de bohèmme, d'interdit, de mensonges et de trahisons.

La Vieillesse.
Finir ses jours aux côtés de notre partenaire, de l'être que nous avons chéri durant toutes ses années d'interdiction et de passion. Lorsque la vieillesse passe la porte tout s'efface. Plus rien n'a exister et plus rien n'existera. Lorsque la maladie l'emporte ce n'est qu'un chaos irréprésible laissant les êtres chers sans mots, elle efface les rêves, les souvenirs et nous emportes vers une tout autre dimension.
L'Impuissance. Ne rien pouvoir faire. Être là n'est pas suffisant.

Bien que triste, la mort est bel et bien la seule justice de ce monde.